GRIPPE AVIAIRE 2021-2022
Suite à un nouve épisode de grippe aviaire dans les Landes, nos dirigeants se posent une question ?
Pourquoi la grippe aviaire frappe-t-elle encore si durement le monde avicole ?
C'est à se taper le cul par terre, voir affligeant !
"La propagation du virus « aussi rapide et sur d’aussi longues distances reste un mystère » indique la Chambre d'Agriculture, qui veut désormais comprendre pourquoi les élevages sont aussi fragiles face à la grippe aviaire"
"Le monde avicole landais, gagné par un profond sentiment d’injustice » face à ce retour de la grippe aviaire malgré la mise sous abri des animaux et avec désormais plus de 100 foyers en élevage, veut comprendre et avoir des réponses, a indiqué une responsable."
" Cette année, 95 % des animaux étaient à l’abri et les densités de production avaient été drastiquement diminuées depuis septembre."
"« Il est primordial de comprendre et d’avoir des réponses pour savoir pourquoi, malgré toutes les évolutions et les investissements réalisés, nos systèmes d’élevage restent aussi fragiles face à une circulation virale » Propos de Marie-Helene Cazaubon
"« La claustration n’a pas su éviter une quatrième crise en six ans »
Pour éviter les contacts avec les oiseaux migrateurs potentiellement porteurs du virus, les autorités françaises avaient demandé dès début novembre à tous les producteurs de confiner leurs volailles."
"Mais les premiers cas ont été détectés dans des élevages conventionnels, en bâtiment, ravivant la colère des syndicats agricoles Confédération paysanne et Modef qui dénoncent « la claustration, mesure phare du gouvernement », également soutenue par les principaux acteurs de la filière, qui n’a « pas su éviter une quatrième crise en six ans »."
Il serait temps d'y réfléchir !!!!!
"D’après la préfecture, une étude épidémiologique est menée dans les Landes par des agents de l’Agence nationale de sécurité sanitaire et de l’alimentation (ANSES) afin de comprendre l’origine de l’apparition des premières contaminations et les causes de la diffusion du virus."
J'espère qu'ils seront mieux aidés, par des experts plus compétents que ceux du ministère de l'environnement dans le cadre du bien être animal ? A moins qu'ils ne décident de faire appel à "Code Animal" expert en tout ?
Il y a quelques années, une étude dont j'ai perdu les références, suggérait que plus de 50% des oiseaux de la faune sauvage pourraient être porteurs sains ? Si c'est bien le cas, ou même si le taux est un peu moindre, vouloir endiguer un tel phénomène est ubuesque, c'est comme vouloir empêcher le virus de la simple grippe humaine de se propager, si c'était possible on l'aurait fait depuis longtemps.
Il faudrait peut-être se pencher sur les remèdes ou des vaccins, plutôt que de ruiner les éleveurs ? On vient bien de le faire dans un temps record pour la COVID !
Non, alors que la propagation à l'homme est marginale, on préfère crier au loup et faire dépenser des fortunes aux éleveurs pour arrêter un processus inarrêtable !
Heureusement que l'on applique pas ces mêmes moyens de précaution dans le cadre de la crise sanitaire de la COVID, quoi que ?
Extraits tirés d'un article de 20minutes.fr