Pour la Détention d'animaux - Le COMBAT continue

 

La loi « Lutte contre la maltraitance animale et pour le renforcement du lien entre l’Homme et l’animal » vient d'être votée cette semaine par les députés puis les sénateurs. Et il nous concerne tous, nous sommes accusés de maltraitance ! Les médias relayent la face visible de cette loi, fin des félins dans les cirques, fin des spectacles en delphinariums, lutte contre les abandons. Mais de manière sous-jacente, mais bien présente, une liste positive, entre autres. Cette liste n'est pas faite, elle le sera dans quelques semaines ou même années lors de la sortie des arrêtés. Mais le processus est lancé…le début de la fin de toute forme de détention animale !

 

Le temps n'est plus au débat, à la compréhension du pourquoi l'intégrisme animaliste pèse autant sur nos débats parlementaires.

Tout ce projet de loi est le fruit du travail d'associations animalistes mises en lumière par des élus de la majorité, dont la seule finalité est la fin de toute forme de captivité animale. Toute personne qui détient aujourd'hui un animal, quel qu'il soit, sera tôt ou tard concernée par une interdiction.

 

Aviornis œuvre aujourd'hui comme hier avec le maximum d'entités pour structurer notre riposte et notre défense future. Nous venons de perdre une bataille, certainement pas la guerre.

 

Notre réponse doit se faire en trois temps :

• Une entité commune qui attaque juridiquement tout ce qui porte atteinte à nos actions et nos droits (c'est la discussion en cours qui devrait aboutir dans les jours qui viennent). Nous avons les moyens financiers de le faire et la volonté.
• Une mobilisation de terrain forte avec le maximum d'acteurs des filières animales (éleveurs amateurs, professionnels, des filières d'agrément et de rente). Cela doit se mettre en place avant l'échéance présidentielle.
• Une mise en place d'un militantisme concret où chaque détenteur peut agir (réseaux, élus…).

Sur ce point :

• C'est là que chacun d'entre vous devient acteur de l'avenir de sa passion. Dans le respect et la maitrise de l'argumentaire, chacun peut et doit interpeller ses élus (maires, députés, sénateurs), plus nous les solliciterons, plus ils évalueront notre nombre et notre force électorale.
• Chacun peut mettre un avis négatif sur les sites animalistes (impact sur leur visibilité) et le motiver par un commentaire. Commenter et démonter les arguments animalistes dès que cela est possible, sur leurs réseaux, sur les articles de presse en ligne où les commentaires sont possibles. Ils sont milles nous sommes des millions, alors arrêtons cette mascarade !

Nous évaluons à 8 000 000, le nombre de femmes et d'hommes, en France, qui possèdent au moins un animal non domestique chez eux. Si nous incluons les domestiques, c'est une personne sur deux ! Nous sommes la force électorale de ce pays sur les sujets d'amélioration de la condition animale.

Tous les députés acquis à notre cause ont brillé par leur absence au vote de mardi dernier. La peur ! La simple peur d'être jugés et insultés s'ils avaient voté contre cette loi au titre piégeur. Est-ce là la démocratie ? Une minorité militantiste qui gagne par la menace ?

Une seule députée a voté "contre" : Mme Anne-Laure BLIN. Soutenez là, partagez, nous devons mettre en lumière ce courage et susciter peut-être des ralliements de ceux restés dans l'ombre....

Même situation chez les sénateurs, un vote "contre", Mme Nathalie GOULET.

 

Les animalistes ont leur # :   #stopcaptivité

Tous les acteurs qui vivent autour des animaux ont désormais le leur : #touchepasamonanimal  

 

L'intégrisme ne gagne jamais. NOTRE UNION sera la réponse ! Nous sommes tous acteurs de notre avenir !

 

Guillaume COAT